Le premier janvier 2012, le ministère de l’Intérieur a créé par décret le Conseil National des Activités Privées de Sécurité (CNAPS), organisme public de police administrative et de contrôle. Le SNARP siège au collège du CNAPS, dans les commissions locales de régions (CLAC) et à la commission de contrôle et d’agréments (CNAC).
Ainsi, l’Etat a renouvelé sa confiance envers le métier de détective via le SNARP.
Avant les contrôles du CNAPS, les chiffres les plus fantaisistes circulaient, jusque 3500 détectives en France. Le CNAPS a délivré à ce jour 730 agréments. L’INSEE annonce 1200 agences. Chiffres très près de la réalité depuis que les « faux » détectives disparaissent petit à petit.
Le client peut ainsi mieux vérifier à qui il a affaire, en allant sur https://teleservices-cnaps.interieur.gouv.fr/teleservices/
Le SNARP est devenu, en janvier 2013, l’un des membres fondateurs de la fédération française de la sécurité privée (FFSP).
Le SNARP-France Détective est le syndicat français reconnu par l’Internationale Kommission der Detektiv-Verbände (IKD), syndicat inter européen.
Le SNARP compte aujourd’hui (en 2017) 195 membres.
Le président du SNARP, Jean-Emmanuel DERNY, siège au collège du CNAPS.
Le Syndicat National des Agents de Recherches Privées est le plus ancien et le plus important de la profession en France.
Fondé le 16 juin 1961 sous le nom de Chambre Syndicale Nationale des Détectives Privés (CSNDP). C’est l’époque où notre profession s’appelait « police privée ».
Au fur et à mesure des législations et des appellations de la profession, passant ainsi de « police privée » à « Agent de recherches », le syndicat change de nom et devient la Chambre Nationale des Agents de Recherches (CNAR) lors de l’AGE du 22 octobre 1977.
L’appellation du syndicat continuera à évoluer et s’appellera Conseil National des Agents de Recherches en 1982 pour enfin devenir, suite à la création de France Détectives par Michel Forget en 1994 et à sa fusion en 2004, Syndicat National des Agents de Recherches Privées – France Détectives (SNARP-FD).
SNARP – FRANCE DÉTECTIVES
Le Syndicat national des agents de recherches privées – France Détectives dont le siège est situé à Paris, 55 avenue Marceau, à trois cent mètres de l’Arc de triomphe, accueille également des membres des Etats-Unis, d’Israël, de Suisse, de Belgique, du Luxembourg, d’Allemagne, du Maroc. C’est le plus ancien des syndicats de la profession.
En févier 2011 lors de son Assemblée générale à Nantes, le SNARP – FD a fêté ses 50 ans. Plus tard il a été dit maladroitement par des gens extérieurs, qu’il n’existait que depuis 2005. Cela est faux !
Le 16 octobre 1982, c’est le nom de Conseil national des agents de recherches qui fût déposé à la préfecture de Police de Paris. Plus tard, lors de son AG à Biarritz avec la fusion de France détectives, fondé en juin 1997 par Michel Forget, il adopta le nom de Syndicat national des agents de recherches privées – France Détectives (SNARP-FD) déclaré à la préfecture de police de Paris, le 4 février 2004.
Le CNAR, puis le SNARP-FD donc, est le seul syndicat reconnu par l’Institut Kommission der Detectives (IKD), syndicat inter européen qui ne reconnaît qu’un syndicat par pays, et regroupe près de trois mille adhérents dans toute l’Europe. Le siège de l’IKD est en Allemagne.
En 2001, le journaliste Christophe Deloire écrit dans son livre Histoires secrètes des détectives privés – (Editions JC Lattès – 2001), que le CNAR est considéré comme le syndicat le plus sérieux et le plus représentatif de la profession.
Un syndicat tel que le SNARP ne fonctionne que sur le bénévolat et beaucoup de bonne volonté.
Le SNARP-FD veut mieux faire connaître et accompagner les professionnels de son secteur. Il constitue une structure de réflexion et de propositions pour les entreprises et les pouvoirs publics.
Il participe à l’évolution du métier qu’il représente, afin d’obtenir la nécessaire reconnaissance de cette profession et des valeurs qu’il fédère et qu’il a formalisé autour d’un code de déontologie dont ses adhérents sont signataires. Ce code de déontologie a été publié par décret ministériel par le CNAPS en juillet 2012.
Notre organisation a pour volonté de communiquer en totale transparence et l’annonce de sa représentativité repose sur une situation factuelle et non sur des effets d’annonces trompeurs, d’ailleurs la liste des membres est consultable sur le site grand public.